Sometimes I Dream in Farsi (2024) Sous-Titrée Français

Dans 'Parfois, je rêve en farsi', Pirooz Kalayeh entreprend un voyage introspectif et documentaire pour surmonter un incident raciste traumatisant vécu dans son enfance. Il revisite le salon de coiffure où il s'est vu refuser une coupe, confrontant ainsi les souvenirs douloureux. À travers des mises en scène avec sa famille, ses amis et des enfants, Kalayeh explore les effets durables du racisme et cherche des voies de guérison et de progrès pour lui-même et pour les autres, offrant une perspective poignante sur la résilience et la réconciliation.

Résumé de Sometimes I Dream in Farsi (2024) Sous-Titrée Français

« Parfois, je rêve en farsi » est un documentaire poignant qui suit le parcours de Pirooz Kalayeh, un homme confronté aux cicatrices persistantes d’un incident raciste survenu durant son enfance. Le film s’ouvre sur le souvenir vif et douloureux d’un refus de coupe de cheveux dans un salon de coiffure, un événement qui a profondément marqué Kalayeh et façonné sa perception du monde. Décidé à ne pas laisser ce traumatisme le définir, il entreprend un voyage introspectif et cathartique pour comprendre et surmonter les effets du racisme.

Le documentaire prend une tournure personnelle et engagée lorsque Kalayeh décide de revisiter le salon de coiffure où l’incident s’est produit. Ce retour sur les lieux est un moment fort du film, chargé d’émotion et de tension. Kalayeh y confronte ses souvenirs et tente de comprendre les motivations derrière cet acte de discrimination. Cette démarche courageuse est le point de départ d’une exploration plus large des mécanismes du racisme et de ses conséquences sur les individus et la société.

Pour approfondir sa compréhension, Kalayeh met en scène une série de jeux de rôle avec sa famille, ses amis et des enfants. Ces mises en situation permettent d’examiner de près les différentes facettes du racisme et de ses impacts psychologiques. Les participants partagent leurs propres expériences et réflexions, créant ainsi un espace de dialogue et de sensibilisation. Ces scènes sont particulièrement touchantes, car elles révèlent la vulnérabilité et la résilience des personnes confrontées à la discrimination.

Le film aborde des thèmes universels tels que la mémoire, l’identité, la guérison et la réconciliation. Il explore la manière dont les expériences traumatisantes peuvent façonner notre perception de nous-mêmes et du monde qui nous entoure. Kalayeh montre que la guérison est possible, mais qu’elle nécessite un travail de reconnaissance, d’acceptation et de transformation. Il souligne également l’importance de l’empathie et de la solidarité dans la lutte contre le racisme.

« Parfois, je rêve en farsi » est un documentaire nécessaire et inspirant qui invite à la réflexion et à l’action. Il offre une perspective unique sur les effets du racisme et propose des pistes pour construire une société plus juste et inclusive. Le film est un témoignage poignant de la force de l’esprit humain et de la capacité de chacun à surmonter les épreuves. Il rappelle que la lutte contre le racisme est un combat permanent qui nécessite l’engagement de tous. Movida.click recommande vivement ce film à tous ceux qui souhaitent mieux comprendre les enjeux du racisme et contribuer à un monde plus tolérant et respectueux.

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